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Danganronpa - Akim Morin


Pour mon projet personnel, j’ai décidé de me consacrer au dessin et à la rédaction d’une bande dessinée complète, des premiers traits au plomb jusqu’à la coloration. Ma BD avait pour sujet “Danganronpa”, une série de jeux vidéo que j’affectionne particulièrement.


Je savais que je voulais dessiner une bande dessinée pour mon PP, mais je ne savais pas quel serait le sujet. Comme j’aime les thèmes sombres, je voulais dessiner une histoire d’horreur, avec des meurtres et des détails effrayants.

Puis, pendant l’été 2020, je suis tombé par hasard sur un animé nommé “Danganronpa”, et je suis instantanément tombé sous le charme avec ses personnages attachants, son intrigue sombre et intéressante, et son ambiance particulière. L’histoire de Danganronpa suit un groupe de 16 étudiants, enfermés dans une école par le maléfique Monokuma, qui doivent s’entretuer pour survivre. Après chaque meurtre, une enquête a lieu, puis un tribunal de classe, où on utilise les indices trouvés pour démasquer le tueur, qui sera ensuite exécuté. Au fur et à mesure que l’intrigue avance, les jeunes découvrent de nouveaux mystères et révèlent peu à peu la raison de leur captivité.


L’animé me fascinait déjà, mais lorsque j’ai découvert qu’il s’agissait à la base d’une trilogie de jeux vidéo, j’ai plongé dans l’univers de cette série et j’ai décidé d’en faire le sujet de ma BD. J’ai donc créé mes personnages et écrit ma propre histoire, de façon à en faire un «spin-off» non-officiel, appelé «Fangan» par la communauté de la série.



Les personnages du premier jeu Danganronpa

Au cours de la création de ma BD, je voulais expérimenter des techniques d’art que je n’avais encore jamais utilisées. Mon superviseur m’a donc prêté une tablette graphique que j’ai pu utiliser pour encrer et colorier ma BD, à l'aide d’un logiciel de dessin. J’ai adoré utiliser cette tablette ! Et cela m'a aussi permis de me familiariser avec un nouvel outil que j’utiliserai lors de mes études en animation.


Évidemment, dessiner une BD prend du temps et de la motivation. Et quand on est passé maître dans l’art de procrastiner, il a plusieurs fois fallu me donner un coup au “vous-savez-quoi" pour finir à temps, à coup de trois ou quatre pages par jour! C’était un peu décourageant par moments, mais j’ai réussi à terminer ma BD en respectant l’échéancier. Il ne restait que le rapport et d’autres séances d’auto-motivation (la procrastination fut ma meilleure amie et mon pire ennemi, décidément !), mais au final, ce fut une très belle aventure.


Je crois que ce qui me rend le plus fier, c’est d’avoir réussi à créer une BD complète de 40 pages en respectant la plupart de mes critères de réussite.

J’ai créé des personnages variés, une ambiance à la fois drôle et sombre, et je trouve qu’elle respecte bien les thèmes de l’œuvre originale. J’ai adoré faire ce projet et je vous laisse avec quelques images de ma création artistique !



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